2002 fut la date de création de l’association, la seule infrastructure dans le village était une école primaire aux installations vétustes avec 220 élèves.
GAMADJI AUJOURD’HUI
L’EDUCATION
3 écoles plus de 900 élèves !
– une école maternelle avec 110 élèves, nous venons de construire une troisième salle de classe.
– l’école primaire avec d’excellentes infrastructures et une bibliothèque.
– un nouveau collège depuis 10 ans.
Auparavant les élèves marchaient 4 heures par jour jusqu’à la ville voisine par plus de 40° et le ventre vide !
La plupart abandonnaient !
Nous avons doté ce collège de nombreux équipements !
Les 900 enfants scolarisés bénéficient d’une cantine tous les jours à midi.
Nous avons aussi acheminé beaucoup de matériel pour les écoles et le sport.
LE POSTE DE SANTE
Un poste de santé neuf avec une infirmière, une sage-femme et cinq personnels :
– les femmes accouchent dans un lit assistées par la sage-femme.
– suivi pré et post-natal.
– campagnes de vaccination.
– traitement du paludisme, bilharziose, diarrhées, hyper-tension, diabète, blessures, brûlures, sous nutrition de la petite enfance…
Nous fournissons aussi de nombreux médicaments : antidouleurs, anti-diarrhéiques, anti-inflammatoires, antibiotiques, pansements…
LE CENTRE DE COUTURE
Destiné aux jeunes femmes n’ayant pas été scolarisées.
La formation est gratuite à la couture et la fabrication de savons.
Ces savons naturels qui soignent la peau ont beaucoup de succès. Nous en ramenons en France.
Nous essayons de trouver des débouchés à Dakar pour développer la production et permettre à ces jeunes femmes d’avoir un revenu, gage de dignité et d’indépendance.
LE CENTRE CULTUREL
Il n’y avait aucun endroit où les villageois pouvaient se rencontrer.
Le Centre Culturel qui vient de se terminer permettra aux associations de se réunir. L’organisation de cours d’alphabétisation pour adultes.
Les répétitions de la danse traditionnelle et du théâtre. D’organiser des rencontres et des fêtes…
LES DAARAS
Ce sont des écoles où les élèves reçoivent une éducation religieuse, de respect, de tolérance et de matières générales.
Elles sont très démunies. De quel droit laisserions-nous ces enfants de côté ?
Nous leur fournissons 8 sacs de riz par mois, du savon, des produits d’hygiène et des soins.
LE MARAICHAGE
Notre objectif est d’arriver à l’autosuffisance en riz pour le village.
La population est très pauvre.
Il faut du carburant pour les pompes, de l’irrigation, des semences, de l’engrais.
Toutes les familles cotisent mais elles n’ont pas les moyens de développer la production.
Nous avons acheté une nouvelle pompe et espérons augmenter la production.
LES ACTIVITÉS CULTURELLES ET SPORTIVES
Nous avons soutenu le football, la danse traditionnelle et le théâtre.
Le premier Président du Sénégal indépendant, le poète Léopold Senghor disait : « sans la culture, il n’y a pas de développement ».